La page 123

J'ai été tagué par Gazelle (que je remercie encore :)). Il me faut choisir un livre à la page 123, donner ses références (auteur, éditeur, année), recopier les lignes 5 à 10. Alors je me lance avant de taguer quatre d'entre vous :

"Sur la blanche surface où se tenait le combat, tous deux oubliaient les spectateurs inexorables. Dans l'air de juin voltigeait le prénom des fleurs du premier jour de l'été. Enfin une légère grimace courut sur la joue du second et une raie rose s'y dessina."

"Le Mortel Partenaire" (à Maurice Blanchot) in René Char, Les Matinaux, Nrf/Poésie, Paris, 1950.

Les prochains sont :

Solko

Frasby

Marc (Epistolaire)

Evey

Je répète les instructions, vous devez :

Citer la personne qui vous a tagué(e)

Choisir un livre, l'ouvrir page 123

Recopier les cinq lignes qui suivent la 5è

Indiquer les références du livre

Et taguer 4 autres personnes! (les avertir aussi)

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Comments

[Léopold]

En allant sur votre blog ce matin, je me suis rendu compte que ma patience n'avait rien à craindre, merci encore pour ce merveilleux billet!

[frasby]

oui ,si vous êtes patient, je sais tenir mes promesses mais avec beaucoup de retard , toujours !

[Léopold]

Je serai ravi si cela arrivait. Je verrais un certain jour.

[frasby]

Pour la 123 eme page ... je trouverai un jour 123 , de la 123 eme année , du 123 eme mois
Je ne lâcherai pas l'affaire ...
Un jour vous verrez ;-)

[Léopold]

La fin de l'oeuvre a en effet quelque chose de vraiment foudroyant, "allons au travail", c'est terrible comme cri mais le roman est une vraie convocation du milieu impressioniste, c'est le roman de l'artiste, pleins de richesse. L'Assomoir c'est déjà autre chose, plus violent dans la misère. Lisez Nana, la fille de Gervaise.